L'équipe forum101 mod.
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Inscription: Dim Mar 13, 2011 10:02 am
Localisation: Québec
Instrument: GratteS à 6 cordes
Accessoires: bottlenecks
Transposition piano/guitare
Transposition de piano vers guitare
Dans le cadre de la production d'une suite de pièces hivernales, chants de Noël et autres chants reliées à la saison hivernale, il m'a fallu m'inventer des tablatures.
Ça va peut-être en surprendre certains, mais je n'ai pas tellement l'oreille musicale. Eh non ! Loin s'en faut ! Ainsi, il m'est difficile de simplement coucher sur papier ce que j'aurais entendu. Croyez-le ou non, je peux très facilement partir dans la mauvaise direction : le chanteur produisant deux notes distinctes mais proches l'une de l'autre, je vais facilement les inverser ! Par contre, comme je peux au moins reconnaître les dissonnances, je me rends compte de mon erreur quand je bloque dans ma transposition des notes suivantes !
Pour faire ressortir les mélodies, donc recréer les tablatures, Happy Traum et Fred Sokolow suggèrent de partir des accords afin de pouvoir trouver les notes appropriées. Voilà une base sécurisante pour le «mal-entendant musical» que je suis. J'ai donc utilisé les accords indiqués dans un cahiers contenant paroles et accords.
C'est bien beau, mais comme les accords se composent d'au moins trois notes réparties sur 4 à 6 cordes, on peut quand-même tâtoner longtemps. D'autant plus que ma relativement jeune expérience en «fingerpicking» m'a déjà appris que l'accord d'accompagnement ne suffit parfois pas : certaines des notes qu'il faudra obligatoirement jouer pour un rendu adéquat ne font pas parti des patrons d'accords usuels (majeurs, mineurs et 7è). Parfois, une note donnée, si elle était incluse dans l'accord, obligerait une posture et une dénomination plutôt complexes !
J'ai donc cru préférable de m'en remettre à quelques principes de base.
Comme la tablature sera faite pour un guitariste seul, il sera généralement indiqué de considérer que les temps soient marqués par les basses.
Les basses. Voilà qu'elles me soulignent un premier écueuil ! La rythmique ! Pas mon fort, loin s'en faut ! Ma bête noire, même ! À part une valse à trois temps ou un tempo bien marqué par une basse ou une batterie que tout ignare reconnaîtrait, je m'y perds ! Bof ! J'irai au feeling que je me dis ! Commençons quelque part, on s'ajustera ensuite !
Une valeur sûre consiste cependant à marquer chaque nouvelle mesure d'un nouvel accord par sa basse usuelle, qu'on connaît par convention :
Mi : 6è corde ouverte,
Fa : 6è corde 1ère case,
Sol : 6è corde 3è case,
La : 5è corde ouverte,
Si : 5è corde 2è case,
Do : 6è corde 3è case,
Ré : 4è corde ouverte.
Bon, il y a les basses alternées me direz-vous, mais on verra ça au moment de l'ajustement, que je me suis dit.
Voilà donc pour les basses.
Pour ce qui est de la mélodie, comme le but est de produire une version instrumentale d'une version chantée, la mélodie, qui se joue généralement dans les aiguës, sera celle de la voix chantée.
De fait, à la réécoute récente de chansons des Beatles, mon oreille arrivant à se concentrer sur la musique plutôt que sur le chant, je fus estomaqué de me rendre compte que la guitare n'avait absolument rien à voir avec le chant !
Donc, il me faudra y aller selon le chant pour la mélodie. Hélàs je ne chante pas... probablement parce que je n'ai pas d'oreille. Ne l'ayant jamais éduquée, elle me fait défaut, et tel un malentendant, je ne peux reproduire un son que je ne reconnais pas. En tout cas, je dois confesser qu'ayant commencé ma partoche en me basant sur mon souvenir du chant, je me suis retrouvé dans le champs (hélàs sans jeu de mot!) dès les premières mesures ! Pour me remettre sur les rails, il m'a fallu réécouter, encore et encore, la chanson ! Elle me trottait pourtant très bien dans la tête. Comme quoi trotter et comprendre ne s'équivalent vraiment pas.
Enfin, un indice pour ne pas se perdre dans la mélodie : on peut généralement pas mal arriver à recomposer une mélodie avec les pentatoniques, donc cinq notes seulement. Ouf ! Moins on a d'outils, moins on risque de s'emmêler les pinceaux.
Alors, canevas de base sur la table, guitare en main, me voilà à coucher les bases sur papier : mélodie dans les aiguës, ajoutant une basse par ci par là pour faire bonne mesure (sans jeu de mot ?!). C'est ainsi que j'ai écrit ma première tablature complète sur la chanson «Les Sentiers de Neige» des Classels.
Fort de mes récentes études des «bass-runs» et des «turn-arounds», j'ai pu ajouter certaines ornementations.
Dans un éclair créatif, j'ai pensé qu'une petite introduction ferait bon effet. En fait, j'ai tout simplement noté à l'écoute de la pièce originale et d'autre mélodies, qu'un extrait du refrain ou d'un couplet était parfois utilisé en guise d'intro : ben voilà quatre mesures qui me semblent bien faire l'affaire, que je me suis dit...
Enfin, comme dans la version originale un couplet n'est pas chanté, mais plutôt sifflé, je me suis dit que je pourrais tenter d'en faire un pont («bridge») solo. Finalement, je l'ai essentiellement orné de combinaisons de «pull-off» et «hammer-on» plutôt que de vraiment y composer des solos.
Raconté comme ça, le tout paraît relativement simple. De fait, passablement de travail d'écriture, mais les principes sont relativement simples. Eh ben non ! Détrompez-vous ! On dit que la Créateur a créé le Monde en six jours pour se reposer le septième jour ! Bon, je n'en croirais rien, mais on nous affirme qu'il est parfait ! Ouaip ! J'ai été confronté au mot parfaire !
Un coup la tablature écrite, on la joue, on la joue, on la rejoue... Y'a toujours quelque chose qui accroche ici et là ! On modifie un recoin et le tapis retrousse ailleurs ! On réajuste là et on doute. On réécoute la chanson : on s'en allait dans le champs. On défait et on réajuste !
Entre temps, regardant d'autres partoches pour cibler la prochaine chanson à travailller, le diable pousse le doute : «Eh ti-coun ! T'aurais pas quelquepart une partoche pour piano... à titre indicatif ? Me voilà en sueur, tripatouillant dans mon fourbis, espérant presque ne pas en trouver ! Enfer et damnation ! J'en ai une !
Bon, me faudra transposer pour comparer. Clé de Sol pour les aiguës, ah ! C'est pratiquement la mélodie... mais pas tout à fait ! Clé de Fa pour les basses ! Ah M... ! Les deux partitions s'impactent ! Ah ben ouais : le piano a au moins six octaves mais la guitare n'en compte que trois. Je puis déjà dire que je reviendrai sur ce sujet dans une autre chronique où la curiosité, qui tient presque du masochisme, m'a entraîné !
Autre tuile : on peut jouer un Mi et son deuxième voisin Sol sur un clavier, mais pas sur les 1ère et 6è cordes d'une gratte... Et puis de toute façon, la partoche piano donne au total bien davantage de notes que ce qu'on joue couramment en «fingerstyle».
Néanmoins, pour en avoir le cœur net, je termine tant bien que mal la transposition en indiquant ici et là des préférences (que je note à l'aide de «()» et «?») parmi les notes que, en progressant, j'en viens à considérer plutôt «suggérées» qu'indiquées.
De fait, en cheminant, j'ai reconnu quelques patterns que j'avais observés dans des tablatures «fingerstyle». J'en cite quelques uns.
L'accord de Do donne généralement lieu à une ouverture de mesure avec x3xx1x. On jouera par ailleurs x3xx3x ou encore x3xxx0.
Le Sol standard donnera lieu à 3xxxx3. Mais il ne faut surtout pas négliger le Sol country 320033 qui donnera 3xxx3x.
Le Sol 7 se joue rarement 3xxxx1 : on lui préfère le dérivé particulier au country 3xxx3x. Vous constaterez que le 3xxxx1 s'avère en fait dissonant dans la mélodie ! En piano, ils semblent plutôt aller chercher la 7è dans les basses, ce qui se transpose mal en guitare !
Le mi mineur 022000 sert généralement à passer un 0xxx0x !
Finalement, même en exerçant des choix, la version que j'avais écrite avant cette angoisssante remise en question s'avère nettement plus convaincante ! Ouf ! Dans l'annexe qui suit, vous avez le jet de transposition à l'état brut de la partoche piano et la version (sans le solo) que j'avais faite. Afin de faciliter la lecture comparative, j'ai mis en apposition les deux versions pour chacune des ligne de texte. Voyez la différence.
En conclusion, la version piano aurait pu m'aider mais pas tant que ça... Sauf pour m'apprendre qu'il s'agit d'une ballade en 3/4... qui comporte généralement 4 notes par mesure !!! Handicap rythmique, je vous l'avais dit !
Voilà ! J'ai tout avoué ! Suis-je digne d'un pardon ?
Ah ! J'oubliais ! J'ai enregistré ma version : elle est dans mes Explorations dans la section Mon YouTube.
LE SENTIER DE NEIGE – Les Classels
(tablature : mawmow / accordage standard EADGBe)
Refrain
Dans le cadre de la production d'une suite de pièces hivernales, chants de Noël et autres chants reliées à la saison hivernale, il m'a fallu m'inventer des tablatures.
Ça va peut-être en surprendre certains, mais je n'ai pas tellement l'oreille musicale. Eh non ! Loin s'en faut ! Ainsi, il m'est difficile de simplement coucher sur papier ce que j'aurais entendu. Croyez-le ou non, je peux très facilement partir dans la mauvaise direction : le chanteur produisant deux notes distinctes mais proches l'une de l'autre, je vais facilement les inverser ! Par contre, comme je peux au moins reconnaître les dissonnances, je me rends compte de mon erreur quand je bloque dans ma transposition des notes suivantes !
Pour faire ressortir les mélodies, donc recréer les tablatures, Happy Traum et Fred Sokolow suggèrent de partir des accords afin de pouvoir trouver les notes appropriées. Voilà une base sécurisante pour le «mal-entendant musical» que je suis. J'ai donc utilisé les accords indiqués dans un cahiers contenant paroles et accords.
C'est bien beau, mais comme les accords se composent d'au moins trois notes réparties sur 4 à 6 cordes, on peut quand-même tâtoner longtemps. D'autant plus que ma relativement jeune expérience en «fingerpicking» m'a déjà appris que l'accord d'accompagnement ne suffit parfois pas : certaines des notes qu'il faudra obligatoirement jouer pour un rendu adéquat ne font pas parti des patrons d'accords usuels (majeurs, mineurs et 7è). Parfois, une note donnée, si elle était incluse dans l'accord, obligerait une posture et une dénomination plutôt complexes !
J'ai donc cru préférable de m'en remettre à quelques principes de base.
Comme la tablature sera faite pour un guitariste seul, il sera généralement indiqué de considérer que les temps soient marqués par les basses.
Les basses. Voilà qu'elles me soulignent un premier écueuil ! La rythmique ! Pas mon fort, loin s'en faut ! Ma bête noire, même ! À part une valse à trois temps ou un tempo bien marqué par une basse ou une batterie que tout ignare reconnaîtrait, je m'y perds ! Bof ! J'irai au feeling que je me dis ! Commençons quelque part, on s'ajustera ensuite !
Une valeur sûre consiste cependant à marquer chaque nouvelle mesure d'un nouvel accord par sa basse usuelle, qu'on connaît par convention :
Mi : 6è corde ouverte,
Fa : 6è corde 1ère case,
Sol : 6è corde 3è case,
La : 5è corde ouverte,
Si : 5è corde 2è case,
Do : 6è corde 3è case,
Ré : 4è corde ouverte.
Bon, il y a les basses alternées me direz-vous, mais on verra ça au moment de l'ajustement, que je me suis dit.
Voilà donc pour les basses.
Pour ce qui est de la mélodie, comme le but est de produire une version instrumentale d'une version chantée, la mélodie, qui se joue généralement dans les aiguës, sera celle de la voix chantée.
De fait, à la réécoute récente de chansons des Beatles, mon oreille arrivant à se concentrer sur la musique plutôt que sur le chant, je fus estomaqué de me rendre compte que la guitare n'avait absolument rien à voir avec le chant !
Donc, il me faudra y aller selon le chant pour la mélodie. Hélàs je ne chante pas... probablement parce que je n'ai pas d'oreille. Ne l'ayant jamais éduquée, elle me fait défaut, et tel un malentendant, je ne peux reproduire un son que je ne reconnais pas. En tout cas, je dois confesser qu'ayant commencé ma partoche en me basant sur mon souvenir du chant, je me suis retrouvé dans le champs (hélàs sans jeu de mot!) dès les premières mesures ! Pour me remettre sur les rails, il m'a fallu réécouter, encore et encore, la chanson ! Elle me trottait pourtant très bien dans la tête. Comme quoi trotter et comprendre ne s'équivalent vraiment pas.
Enfin, un indice pour ne pas se perdre dans la mélodie : on peut généralement pas mal arriver à recomposer une mélodie avec les pentatoniques, donc cinq notes seulement. Ouf ! Moins on a d'outils, moins on risque de s'emmêler les pinceaux.
Alors, canevas de base sur la table, guitare en main, me voilà à coucher les bases sur papier : mélodie dans les aiguës, ajoutant une basse par ci par là pour faire bonne mesure (sans jeu de mot ?!). C'est ainsi que j'ai écrit ma première tablature complète sur la chanson «Les Sentiers de Neige» des Classels.
Fort de mes récentes études des «bass-runs» et des «turn-arounds», j'ai pu ajouter certaines ornementations.
Dans un éclair créatif, j'ai pensé qu'une petite introduction ferait bon effet. En fait, j'ai tout simplement noté à l'écoute de la pièce originale et d'autre mélodies, qu'un extrait du refrain ou d'un couplet était parfois utilisé en guise d'intro : ben voilà quatre mesures qui me semblent bien faire l'affaire, que je me suis dit...
Enfin, comme dans la version originale un couplet n'est pas chanté, mais plutôt sifflé, je me suis dit que je pourrais tenter d'en faire un pont («bridge») solo. Finalement, je l'ai essentiellement orné de combinaisons de «pull-off» et «hammer-on» plutôt que de vraiment y composer des solos.
Raconté comme ça, le tout paraît relativement simple. De fait, passablement de travail d'écriture, mais les principes sont relativement simples. Eh ben non ! Détrompez-vous ! On dit que la Créateur a créé le Monde en six jours pour se reposer le septième jour ! Bon, je n'en croirais rien, mais on nous affirme qu'il est parfait ! Ouaip ! J'ai été confronté au mot parfaire !
Un coup la tablature écrite, on la joue, on la joue, on la rejoue... Y'a toujours quelque chose qui accroche ici et là ! On modifie un recoin et le tapis retrousse ailleurs ! On réajuste là et on doute. On réécoute la chanson : on s'en allait dans le champs. On défait et on réajuste !
Entre temps, regardant d'autres partoches pour cibler la prochaine chanson à travailller, le diable pousse le doute : «Eh ti-coun ! T'aurais pas quelquepart une partoche pour piano... à titre indicatif ? Me voilà en sueur, tripatouillant dans mon fourbis, espérant presque ne pas en trouver ! Enfer et damnation ! J'en ai une !
Bon, me faudra transposer pour comparer. Clé de Sol pour les aiguës, ah ! C'est pratiquement la mélodie... mais pas tout à fait ! Clé de Fa pour les basses ! Ah M... ! Les deux partitions s'impactent ! Ah ben ouais : le piano a au moins six octaves mais la guitare n'en compte que trois. Je puis déjà dire que je reviendrai sur ce sujet dans une autre chronique où la curiosité, qui tient presque du masochisme, m'a entraîné !
Autre tuile : on peut jouer un Mi et son deuxième voisin Sol sur un clavier, mais pas sur les 1ère et 6è cordes d'une gratte... Et puis de toute façon, la partoche piano donne au total bien davantage de notes que ce qu'on joue couramment en «fingerstyle».
Néanmoins, pour en avoir le cœur net, je termine tant bien que mal la transposition en indiquant ici et là des préférences (que je note à l'aide de «()» et «?») parmi les notes que, en progressant, j'en viens à considérer plutôt «suggérées» qu'indiquées.
De fait, en cheminant, j'ai reconnu quelques patterns que j'avais observés dans des tablatures «fingerstyle». J'en cite quelques uns.
L'accord de Do donne généralement lieu à une ouverture de mesure avec x3xx1x. On jouera par ailleurs x3xx3x ou encore x3xxx0.
Le Sol standard donnera lieu à 3xxxx3. Mais il ne faut surtout pas négliger le Sol country 320033 qui donnera 3xxx3x.
Le Sol 7 se joue rarement 3xxxx1 : on lui préfère le dérivé particulier au country 3xxx3x. Vous constaterez que le 3xxxx1 s'avère en fait dissonant dans la mélodie ! En piano, ils semblent plutôt aller chercher la 7è dans les basses, ce qui se transpose mal en guitare !
Le mi mineur 022000 sert généralement à passer un 0xxx0x !
Finalement, même en exerçant des choix, la version que j'avais écrite avant cette angoisssante remise en question s'avère nettement plus convaincante ! Ouf ! Dans l'annexe qui suit, vous avez le jet de transposition à l'état brut de la partoche piano et la version (sans le solo) que j'avais faite. Afin de faciliter la lecture comparative, j'ai mis en apposition les deux versions pour chacune des ligne de texte. Voyez la différence.
En conclusion, la version piano aurait pu m'aider mais pas tant que ça... Sauf pour m'apprendre qu'il s'agit d'une ballade en 3/4... qui comporte généralement 4 notes par mesure !!! Handicap rythmique, je vous l'avais dit !
Voilà ! J'ai tout avoué ! Suis-je digne d'un pardon ?
Ah ! J'oubliais ! J'ai enregistré ma version : elle est dans mes Explorations dans la section Mon YouTube.
LE SENTIER DE NEIGE – Les Classels
(tablature : mawmow / accordage standard EADGBe)
- Code:
intro. F C D7 G7
e||-------------1--1-|-0----------|------------|-----
B|3-------1--1-------|----3--1----|-------0--1-|-3---
G|--2--2-------------|----------0-|-2--2-------|-----
D|--------------3----|----------0-|-0-----0--0-|-----
A|4-------3----------|-3--3--3----|------------|-----
E||-1----------------|------------|------------|-3---
- Code:
1- Le sentier de neige cou-rant la val-lée,
2- Des flocons de neige couvraient tes che-veux,
piano
C Em F C
---|----0--------|----0-------|-----------1--|-0--------
*---|-1---------1-|-0-(0)----0-|---(1)--------|----------
-0-|---(0)-(0)---|---(0)------|-2-(2)--------|----0--0--
---|----2---2----|-2----------|(3)-------(3)-|----3--3--
*---|-3-----------|----2--2----|----3--3------|-3--------
---|---0?3-0?3---|-0--3--3----|-1--5--5------|----------
guitare
C Em F C
---|--------0----|-------0----|--------1--1--|-0--------
*---|-1---1-----1-|-0--0-----0-|-----1--------|----3--1--
---|-------------|------------|--2-----------|----------
---|-------------|-2-----2----|--------3-----|----------
*---|-3-----------|------------|--------------|-3-----3--
---|--------3----|------------|--1-----------|----------
- Code:
1- Et dans son cor - tè-ge, les sa-pins ge-lés
2- Et la lune bei-ge nous rendait heureux.
F C D7 G7
---|---------------1--|-0--------0-|----------0-|--------------
---|-------1----------|---3-1------|-3----------|-3------------
-0-|--2---(2)---------|----(0)-----|----2-------|-----0---0----
---|-(3)----------(3)-|-----2--2---|-0--4--4----|-3---2---0----
---|-------3---3------|-3----------|----3--3----|--------------
---|--1---(5)--5------|-----3--3---|------------|-3--0?3--3----
F C D7 G7
--|-------------1--1-|-0----------|-------0--0-|------------3-
--|-------1-(1)------|----3--1----|------------|-3-------3----
--|-2-(2)------------|----------0-|-2--2-------|------4-------
--|-------------3----|----------0-|-0-----0----|---3----------
--|-------3----------|-3--2--3----|------------|--------------
--|-1----------------|------------|------------|-3------------
- Code:
1- T'es restée bien sa-ge, té-moin d'un bai-ser.
2- Je t'ai dit: "Je t'aime" dans la paix des bois
C Em F C
----|-----0--------|----0-------|----------1-|-0--------
----|-1----------1-|-0-(0)-(0)0-|----1-------|----------
–-0-|--------------|---(0)-(0)--|-2--2--2----|----0--0--
----|----2?5-2?5---|-2----------|(3)---------|----2--2--
----|-3------------|-?--2---2---|----3--3----|-3--------
----|----3?0-3?0---|-0--3---3---|-1-(5)-5----|----------
C Em F C
----|--------0-----|-------0----|-------1--1-|-0--------
----|--1--1-----1--|-0--0-----0-|----1-------|----3--1--
----|--------------|------------|-2----------|----------
----|--------------|-2-----2----|-------3----|----------
----|--3-----------|------------|------------|-3-----3--
----|--------3-----|------------|-1----------|----------
- Code:
1- Que sur ton vi - sa-ge, je t'a-vais vo – lé.
2- La nei-ge en po-ème fon-dait sous nos pas.
F C G7 C |1
---|---------------1--|-0-------0-|------------|------|--------||
---|------1-----------|---3-1-----|-3-------0--|1-----|-------*||
-0-|-2----2---2-------|-----0-----|-----2------|-----0|--------||
---|(3)---------------|-----------|-----3---3--|--2-2-|--------||
---|------3---3-------|-3---2-2---|-2----------|3-----|-------*||
---|-1---(5)-(5)------|-----3-3---|-----3---3--|--3-3-|--------||
F C G7 C |1
---|-------------1--1-|-0---------|-0----------|------|--------||
---|-------1-(1)------|----3--1---|----3-----0-|-1-(3)|-------*||
---|-2-(2)------------|-----------|-------2----|------|--------||
---|-------------3----|-----------|------------|-2----|--------||
---|-------3----------|-3-----3---|-------2----|------|---0-2-*||
---|-1----------------|-----------|-3----------|---(3)|-3------||
Refrain
- Code:
Ce sen-tier de neige si pur et si doux,
|2 F C G7 C
e||---------|-1--3-------|-0-----0-|----------0-|-0----|------------|
B||-------1-|-----(3-?-2)|--3-1----|-3--3-------|------|------------|
G||---------|-----(2-?-3)|----0(0)-|------------|---0-0|------------|
D||---------|-3----------|----2-2--|----4-(4)---|---2-2|------------|
A||---------|-----0?3-0?3|-3-------|-2--3--3----|-3----|------------|
E||---------|-1----------|---0?3?--|---(2)-2----|------|------------|
|2 F C G7 C
e||---------|-1--1--3--1-|-0-------|-0----------|------|------------|
B||-------0-|------------|----3--1-|----3-----0-|-1--3-|------------|
G||-0--2----|------------|---------|-------2----|------|------------|
D||---------|------------|---------|------------|-2----|------------|
A||----0--2-|-------3----|-3--2--3-|-------2----|----2-|-3--2--0----|
E||-3-------|-1----------|---------|-3----------|------|----------3-|
- Code:
Depuis pro-tège notre a-mour ja - loux.
F C D7 G7
|-1--3------1-|-0--------0-|-------------0-|------------
|---(3)-(3)---|---3-1------|-3---3---------|-3----------
|---(2)-------|----(0)-----|---------------|-----3------
|(3)----------|-----2--2---|-0--(4)-(4)----|3?5-----0---
|----3---3----|-3----------|-----3---3-----|--------5---
|-1-—5---5----|----0?30?3--|----(2)-(2)----|3?1-3?0-3---
F C D7 G7
|-1-(3)-(1)-3-|-1--0-------|----------0-(0)|------------
|-------------|-------3--1-|----1----------|--3------3--
|-------------|------------|-2-----2-------|-------4----
|-------(3)---|----2-------|-0-----0-------|-----3------
|-------------|-3--------3-|---------------|--5---------
|-1-----------|------------|---------------|------------
- Code:
Je t'ai dit:"Je t'aime"dans la paix des bois
C Em F C
---|----0-------|----0------|---------1--|-0--------
---|-1--------1-|-0------0--|-----1------|----------
-0-|----0--0----|----0------|-2---2---2--|--------0-
---|----2--2----|-2---------|(3)---------|----2-2---
---|-3--?-------|----2------|----0?3--3--|-3--------
---|---0?30?3---|-0--3------|-1--(5)-(5)-|----3-3---
C Em F C
---|-------0----|-----0-----|-------1--1-|-0-------- (CODA)
---|-1--1-----1-|--0-----0--|----1-------|----3--1--
---|------------|-----------|-2----------|----------
---|------------|--2-----2--|-------3----|----------
---|-3----------|-----------|------------|-3-----3--
---|-------3----|-----------|-1----------|----------
- Code:
La neige en po-ème fon-dait sous nos pas.
F C G7 C Finale
---|---------------1--|-0-----0-|-------------|-----------||------||
---|-----2------------|--3------|-3---------0-|-1---------||------||
-0-|-2---2---(2)------|----1----|------2------|---------0-||---0--||
---|------------------|----2-2--|------3----3-|---2--2----||-2?2--||
---|----0?3--0?3------|-3-------|-2-----------|-3---------||-3?3--||
---|-1---5----5-------|---0?33--|-----3?1---3-|---3--3----||-3?---||
F C G7 C
--|--------------1--1-|-0-------|-0-----------|-----------||---
--|-------1--(1)------|----3--1-|----3-----0--|-1---------||---
--|-2-(2)-------------|---------|-------2-----|-----------||---
--|--------------3----|---------|-------------|-----------||---
--|-------3-----------|-3-----3-|-------2-----|-3-----0-2-||---
--|-1-----------------|---------|-3-----------|----3------||---
Pour le temps qu'il me reste ? PASSION MUSIQUE !!!