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Mar Jan 23, 2018 12:15 pm
Essai micro iRig
(Synthèse reformatée du contenu déjà versé à la section technique)
Bon, je m'étais promis qu'on ne m'y reprendrais plus. Non, plus jamais d'électronique dans mes acoustiques ! J'ai déjà donné avec d'excellents micros, piezzo ainsi que des combos piezzo et micro (K&K et LRBaggs iMix notamment). Mais, fini les gadgets électroniques, f, i, fi, n, i, ni !
Pour pallier à l'incommodant bruit du ventilo de mon puissant PC, je m'étais rabattu sur mon iPad aphone ! Ça m'évitait de devoir me taper des montages audio/vidéo (prendre le mp3 et le synchroniser à la vidéo). Mais, la résolution sonore souffrait de l'éventail trop restreint de l'iPad. Au pis, il me restait la caméra de bobonne... que je n'ai pas utilisée...
Donc, plus de machin électronique dans mes acoustiques ! Ja-mais plus !
Ben c'était sans compter sur un fils, qui navigue dans la réalisation de jeux multimédia, qui vient de m'offrir un microphone iRig. Il s'agit d'un microphone dédié à l'enregistrement sur portable (iPhone, iPad...). Ce petit micro est amovible : on le clip simplement sur le rebord de la rosace.
Le micro vient dans une pochette qui comporte une fermeture éclair ("zipper"). Son filage, très mince, paraît ridicule même en comparaison de celui de mes écouteurs auriculaires. Le tout laisse déjà craindre pour ce qui est de la longévité d'un équipement dédié à être trimbalé !
*Premier scoop*
On dédie ce petit microphone pour les instruments à caisse plane (guitare, ukulele), et des chroniqueurs excluent même nommément les archtops (ouïes en f). Surprise ! Il passe dans le f de ma Godin 5th Avenue sur laquelle on ne peut fixer de dispositif d'enregistrememt faute d'accès... Et ça semble fonctionner !
Évidemment, brancher un micro ne suffit pas... On doit quérir l'app AmpliTube. La version de base, gratuite, est tout à fait fonctionnelle, du moins pour tester le micro.
*Deuxième scoop*
Bon, vous avez branché le micro, ouvert l'application et même réussi à écouter les vidéos (toutes en anglais !) sur le site du fabricant, dont celle expliquant la marche à suivre pour pouvoir enfin vous éclater : ben, c'est insuffisant !
Vous chercherez un bon vieux "Manuel du fabricant"... dont vous trouverez le lien dans l'app ! MAIS, vous ne pourrez y accéder qu'en vous inscrivant sur le site du fabricant (avec no. de série du microphone). Bon, c'est gratuit et ça vous ouvre gratuitement un module complémentaire dans l'app. Mais le manuel est en anglais. Par contre, quand dans l'App, on tape sur les composants, la légende française apparaît. Cependant, tant la vidéo que manuel font étalage de fonctionnalités sans préciser lesquelles sont incluse dans la version gratuite et comme je suis pas techicien du son, certaines fonctions qui me sont inconnues... le demeurent !
ATTENTION : On doit toujours brancher le micro et autre (oreillette) avant d'ouvrir AmpliTube.
À la mise en marche du logiciel, on doit enregistrer un échantillonnage sonore de l'instrument branché (icône "guitare"), histoire, en quelque sorte, de mettre dans la boîte la sonorité de l'instrument... Il n'y en a que pour une minute.. Comme le micro est amovible, on peut ainsi constituer une banque de ses propres instruments. Ultérieurement, on a qu'à sélectionner dans la banque l'instrument branché pour changer d'instrument, donc faisable sur scène.
Heureusement, l'AmpliTube de base, gratuit, possède d'autres fonctionnalités. Certaines configurations d'enregistrement (sous l'icône "----" !) permettent aussi de moduler le rendu sonore, par exemple, plus moelleux ou plus incisif.
Incidemment, AmpliTube inclut aussi un accordeur (icône diapason), ainsi qu'un métronome (qu'on peut activer ou pas).
Le logiciel AmpliTube de base n'offre qu'une piste (la version complète en offre huit). On ne peut non plus "masterizer" : il faudra pour ce faire acheter la version complète qui comporte aussi deux modèles d'amplificateurs ("cabinet") supplémentaires, chacun comportant de nouveaux effets. Le "chorus" est disponible sur le modèle de base, mais pas le reverb qui se retrouve sur un autre ampli. La version complète ajoutera aussi d'autres modules fonctionnels, mais je ne me suis pas rendu jusque-là.
Les réglages généraux m'apparaissent relativement complexes à réaliser d'abord parce qu'il faut les trouver dans le menu à l'extrême droite au bas de l'écran) d'abord les niveaux entrée/sortie, puis la distibution des fréquences sonores par EQ.
Pour enregistrer, on clique sur l'icône présentant une antique enregistreuse à bobines. La page qui apparaît présente le titre du projet comme sur un ruban gommé apposé sur la portion électroacoustique entre les deux bobines. En tapant dessus, on peut lui attribuer un nom et passer à la page de la librairie où seront déposés les projets qu'on se créera. Pour effacer un projet, on clique sur "Edit" (en haut à droite de l'écran) puis efface le projet; ensuite, on clique sur "Done" qui a remplacé "Edit" et on clique sur un projet pour revenir ou on clique sur "+" en haut à gauche pour inscrire un nouveau projet, ce qui nous ramènera ensuite sur la page de l'enregistreuse à bobines.
ATTENTION : Il faut toujours porter attention au projet en titre car à la réouverture de l'enregistreur, il peut ramener le dernier projet travaillé...
Pour démarrer l'enregistrement, on tappe sur le voyant rouge. Pour stopper, on tappe sur le bouton avance ! On peut continuer d'enregistrer en re-tappant sur le bouton rouge. Pour réécouter, le bouton recule : une tappe ramène au dernier arrêt, tandis que double-tappe ramène au début du projet.
Lors des échantillonnages, j'ai pu mettre le micro même sur la barre en T du tricone et obtenir un enregistrement. Qu'il s'agisse du tricone, de différentes acoustiques à caisse plane (Taylor 512, Martin 000-18, Gibson L-00TV et plusieurs autres...) ou même de l'archtop Godin, le système enregistre bien. Par contre, le rendu est-il fidèle à l'acoustique ? Il ne me semble pas possible de reconnaître les sonorités caractéristiques tellement différentes des Taylor, Martin et Gibson.
J'ai aussi tenté de tricher le système : branchant la Taylor 512, j'ai indiqué à AmpliTube que je jouais d'une autre gratte histoire de voir ce que l'échantillonnage des divers instruments changerait. Je ne peux pas dire que ça ait semblé faire de grandes différences incluant pour l'archtop, à l'exception du tricone qui rend un fond de basse qui rappelle une tappe molle sur la caisse et de lointaines et fantomatiques notes aiguës.
Me rappelant qu'une chaîne ne peut livrer mieux que le plus faible de ses maillons, j'ai comparé ces résultats à l'enregistrement direct par le simple micro de l'iPad comme je le faisais en vidéo car la capacité de "définition" sonore du iPad pourrait être le maillon faible, et de fait, l'enregistrement acoustique (Taylor 512) par iRig s'est avéré un peu meilleur que directement par le micro de l'iPad dans la fonction vidéo, mais pas de façon substantielle.
On notera que le micro iRig fixé sur la caisse est tellement sensible aux vibrations qu'il transmet même le glissement de la main sur le dos du manche ou la manipulation des clés lors de l'ajustement de l'accordage tout comme un léger crissement des vêtements ou de l'avant-bras sur la caisse, ce qui n'est pas le cas du micro de l'iPad.
La valeurs pre-éditées en usine (cachées ailleurs sous "----" !) semblent fonctionner, bien que je n'écoute le résultat que sur oreillettes. Ainsi, "Classic", "Gentle Steel" et "Warm" semblent en effet rendre des sonorités (Taylor 512) respectivement naturelles, plus métalliques ou plus "chaudes" (rondes).
J'ai aussi fait des essais avec divers instruments sous les premières valeurs pré-formattées en usine sous le vocable "Classic". Le rendu m'est apparu plutôt "cru", mais je n'y ai pas perçu la sonorité caractéristique de certains intruments : l'archtop Godin 5th Avenue sonne plutôt folk, tandis que le son métallique du tricone se retrouve passablement amoindri; les nylons sonnent plus moelleuses que les folks, mais pas vraiment nylon. L'archtop Godin sonnait passablememt métallique (effet des cordes Dragon Skin SA-12 ??), même proche des parlors Gibsons L-1 and L-00, lesquels rendaient incidemment des sonorité passablement similaires, alors que ces deux cousines ont des signatures acoustiques relativement distinctes, bien que leur sonorité globale soit typiquement Gibson.
Enfin, même la version de base de AmpliTube permet d'exporter ses projets sur "Air Drop", via messagerie ou sur "Sound Cloud". Les fichiers sont convertis en ".m4a", format de QuickTime (aussi lisibles sous d'autres applications compatibles avec Windows).
* En conclusion
Ai-je besoin du microphone iRig ? En fait, partir du microphone pour évaluer mes besoins, c'est oublier que le micro n'est en fait qu'une porte d'entrée dans un système de traitement du son et d'enregistrement. La question à se poser est donc : "Ai-je besoin de ce système ? Que m'apportera-t-il ? En vaut-il le coût ? La réponse variera évidemment en fonction de vos attentes. Si vous voulez pousser, Il vous faudra toutefois acheter aussi la version complète d'AmpliTube et ses divers modules (j'ai pas fait le total...).
Bon, je m'étais promis qu'on ne m'y reprendrais plus. Non, plus jamais d'électronique dans mes acoustiques ! J'ai déjà donné avec d'excellents micros, piezzo ainsi que des combos piezzo et micro (K&K et LRBaggs iMix notamment). Mais, fini les gadgets électroniques, f, i, fi, n, i, ni !
Pour pallier à l'incommodant bruit du ventilo de mon puissant PC, je m'étais rabattu sur mon iPad aphone ! Ça m'évitait de devoir me taper des montages audio/vidéo (prendre le mp3 et le synchroniser à la vidéo). Mais, la résolution sonore souffrait de l'éventail trop restreint de l'iPad. Au pis, il me restait la caméra de bobonne... que je n'ai pas utilisée...
Donc, plus de machin électronique dans mes acoustiques ! Ja-mais plus !
Ben c'était sans compter sur un fils, qui navigue dans la réalisation de jeux multimédia, qui vient de m'offrir un microphone iRig. Il s'agit d'un microphone dédié à l'enregistrement sur portable (iPhone, iPad...). Ce petit micro est amovible : on le clip simplement sur le rebord de la rosace.
Le micro vient dans une pochette qui comporte une fermeture éclair ("zipper"). Son filage, très mince, paraît ridicule même en comparaison de celui de mes écouteurs auriculaires. Le tout laisse déjà craindre pour ce qui est de la longévité d'un équipement dédié à être trimbalé !
*Premier scoop*
On dédie ce petit microphone pour les instruments à caisse plane (guitare, ukulele), et des chroniqueurs excluent même nommément les archtops (ouïes en f). Surprise ! Il passe dans le f de ma Godin 5th Avenue sur laquelle on ne peut fixer de dispositif d'enregistrememt faute d'accès... Et ça semble fonctionner !
Évidemment, brancher un micro ne suffit pas... On doit quérir l'app AmpliTube. La version de base, gratuite, est tout à fait fonctionnelle, du moins pour tester le micro.
*Deuxième scoop*
Bon, vous avez branché le micro, ouvert l'application et même réussi à écouter les vidéos (toutes en anglais !) sur le site du fabricant, dont celle expliquant la marche à suivre pour pouvoir enfin vous éclater : ben, c'est insuffisant !
Vous chercherez un bon vieux "Manuel du fabricant"... dont vous trouverez le lien dans l'app ! MAIS, vous ne pourrez y accéder qu'en vous inscrivant sur le site du fabricant (avec no. de série du microphone). Bon, c'est gratuit et ça vous ouvre gratuitement un module complémentaire dans l'app. Mais le manuel est en anglais. Par contre, quand dans l'App, on tape sur les composants, la légende française apparaît. Cependant, tant la vidéo que manuel font étalage de fonctionnalités sans préciser lesquelles sont incluse dans la version gratuite et comme je suis pas techicien du son, certaines fonctions qui me sont inconnues... le demeurent !ATTENTION : On doit toujours brancher le micro et autre (oreillette) avant d'ouvrir AmpliTube.
À la mise en marche du logiciel, on doit enregistrer un échantillonnage sonore de l'instrument branché (icône "guitare"), histoire, en quelque sorte, de mettre dans la boîte la sonorité de l'instrument... Il n'y en a que pour une minute.. Comme le micro est amovible, on peut ainsi constituer une banque de ses propres instruments. Ultérieurement, on a qu'à sélectionner dans la banque l'instrument branché pour changer d'instrument, donc faisable sur scène.
Heureusement, l'AmpliTube de base, gratuit, possède d'autres fonctionnalités. Certaines configurations d'enregistrement (sous l'icône "----" !) permettent aussi de moduler le rendu sonore, par exemple, plus moelleux ou plus incisif.
Incidemment, AmpliTube inclut aussi un accordeur (icône diapason), ainsi qu'un métronome (qu'on peut activer ou pas).
Le logiciel AmpliTube de base n'offre qu'une piste (la version complète en offre huit). On ne peut non plus "masterizer" : il faudra pour ce faire acheter la version complète qui comporte aussi deux modèles d'amplificateurs ("cabinet") supplémentaires, chacun comportant de nouveaux effets. Le "chorus" est disponible sur le modèle de base, mais pas le reverb qui se retrouve sur un autre ampli. La version complète ajoutera aussi d'autres modules fonctionnels, mais je ne me suis pas rendu jusque-là.
Les réglages généraux m'apparaissent relativement complexes à réaliser d'abord parce qu'il faut les trouver dans le menu à l'extrême droite au bas de l'écran) d'abord les niveaux entrée/sortie, puis la distibution des fréquences sonores par EQ.
Pour enregistrer, on clique sur l'icône présentant une antique enregistreuse à bobines. La page qui apparaît présente le titre du projet comme sur un ruban gommé apposé sur la portion électroacoustique entre les deux bobines. En tapant dessus, on peut lui attribuer un nom et passer à la page de la librairie où seront déposés les projets qu'on se créera. Pour effacer un projet, on clique sur "Edit" (en haut à droite de l'écran) puis efface le projet; ensuite, on clique sur "Done" qui a remplacé "Edit" et on clique sur un projet pour revenir ou on clique sur "+" en haut à gauche pour inscrire un nouveau projet, ce qui nous ramènera ensuite sur la page de l'enregistreuse à bobines.
ATTENTION : Il faut toujours porter attention au projet en titre car à la réouverture de l'enregistreur, il peut ramener le dernier projet travaillé...
Pour démarrer l'enregistrement, on tappe sur le voyant rouge. Pour stopper, on tappe sur le bouton avance ! On peut continuer d'enregistrer en re-tappant sur le bouton rouge. Pour réécouter, le bouton recule : une tappe ramène au dernier arrêt, tandis que double-tappe ramène au début du projet.
Lors des échantillonnages, j'ai pu mettre le micro même sur la barre en T du tricone et obtenir un enregistrement. Qu'il s'agisse du tricone, de différentes acoustiques à caisse plane (Taylor 512, Martin 000-18, Gibson L-00TV et plusieurs autres...) ou même de l'archtop Godin, le système enregistre bien. Par contre, le rendu est-il fidèle à l'acoustique ? Il ne me semble pas possible de reconnaître les sonorités caractéristiques tellement différentes des Taylor, Martin et Gibson.
J'ai aussi tenté de tricher le système : branchant la Taylor 512, j'ai indiqué à AmpliTube que je jouais d'une autre gratte histoire de voir ce que l'échantillonnage des divers instruments changerait. Je ne peux pas dire que ça ait semblé faire de grandes différences incluant pour l'archtop, à l'exception du tricone qui rend un fond de basse qui rappelle une tappe molle sur la caisse et de lointaines et fantomatiques notes aiguës.
Me rappelant qu'une chaîne ne peut livrer mieux que le plus faible de ses maillons, j'ai comparé ces résultats à l'enregistrement direct par le simple micro de l'iPad comme je le faisais en vidéo car la capacité de "définition" sonore du iPad pourrait être le maillon faible, et de fait, l'enregistrement acoustique (Taylor 512) par iRig s'est avéré un peu meilleur que directement par le micro de l'iPad dans la fonction vidéo, mais pas de façon substantielle.
On notera que le micro iRig fixé sur la caisse est tellement sensible aux vibrations qu'il transmet même le glissement de la main sur le dos du manche ou la manipulation des clés lors de l'ajustement de l'accordage tout comme un léger crissement des vêtements ou de l'avant-bras sur la caisse, ce qui n'est pas le cas du micro de l'iPad.
La valeurs pre-éditées en usine (cachées ailleurs sous "----" !) semblent fonctionner, bien que je n'écoute le résultat que sur oreillettes. Ainsi, "Classic", "Gentle Steel" et "Warm" semblent en effet rendre des sonorités (Taylor 512) respectivement naturelles, plus métalliques ou plus "chaudes" (rondes).
J'ai aussi fait des essais avec divers instruments sous les premières valeurs pré-formattées en usine sous le vocable "Classic". Le rendu m'est apparu plutôt "cru", mais je n'y ai pas perçu la sonorité caractéristique de certains intruments : l'archtop Godin 5th Avenue sonne plutôt folk, tandis que le son métallique du tricone se retrouve passablement amoindri; les nylons sonnent plus moelleuses que les folks, mais pas vraiment nylon. L'archtop Godin sonnait passablememt métallique (effet des cordes Dragon Skin SA-12 ??), même proche des parlors Gibsons L-1 and L-00, lesquels rendaient incidemment des sonorité passablement similaires, alors que ces deux cousines ont des signatures acoustiques relativement distinctes, bien que leur sonorité globale soit typiquement Gibson.
Enfin, même la version de base de AmpliTube permet d'exporter ses projets sur "Air Drop", via messagerie ou sur "Sound Cloud". Les fichiers sont convertis en ".m4a", format de QuickTime (aussi lisibles sous d'autres applications compatibles avec Windows).
* En conclusion
Ai-je besoin du microphone iRig ? En fait, partir du microphone pour évaluer mes besoins, c'est oublier que le micro n'est en fait qu'une porte d'entrée dans un système de traitement du son et d'enregistrement. La question à se poser est donc : "Ai-je besoin de ce système ? Que m'apportera-t-il ? En vaut-il le coût ? La réponse variera évidemment en fonction de vos attentes. Si vous voulez pousser, Il vous faudra toutefois acheter aussi la version complète d'AmpliTube et ses divers modules (j'ai pas fait le total...).
Pour le temps qu'il me reste ? PASSION MUSIQUE !!!
